Walter Sextant

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Détails de l'événement


En février 2014 Walter Sextant enregistrait son premier EP et nous ouvrait la porte de son laboratoire personnel en nous présentant une musique instrumentale en équilibre entre jazz et rock progressif. Aujourd’hui la formule s’est étoffée d’une trompette, de machines et compte à présent 6 musiciens.
Trois cuivres emmenés par une section rythmique électrisante au cœur d’un maelström hypnotique. L’écriture est singulière, simple et ancrée dans l’énergie du rock. Marquée par le travail du son et des textures , elle porte la section qui n’hésite pas à user d’effets analogiques et autres pédales de distorsion pour gommer les différents timbres et se rapprocher de sons organiques, oniriques, tout en sublimant la musique de l’instant. Les références littéraires et historiques nourrissent l’imaginaire du protagoniste, alchimiste fou, dont la formule aboutit parfois à un résultat explosif.
Simon Portefaix (batterie, percussions) // Guillaume Pique (trombone) // Grégoire Oboldouieff (basse électrique) // Rémi Savignat (guitare, compositions) // Andy Lévêque (saxophones, percussions) // William Laudinat (trompette, machines)
http://waltersextant.com/

Grand Prix du Jury tremplin Tonnerre de jazz 2018 – Prix des internautes Sud ouest 2018
Prix de la meilleure composition tremplin Avignon Jazz Festival 2017
Prix du public tremplin Avignon Jazz Festival 2017
Lauréat Jazz à Oloron 2014
Finaliste Golden jazz Trophy 2017
Finaliste tremplin Caval’air jazz festival 2017

« Des qualités narratives, notamment dans la suite Sarajevo, bien orchestrées sur une musique évoquant les orchestres cuivres-rythmique rock/r’n’b du catalogue Columbia à la fin des années 60 (Chicago Transit Authority, Blood, Sweat & Tears, Flock) et cette scène anglaise où l’on passait à la même époque constamment du rock au jazz. » Franck Bergerot / Jazz Magazine

« D’emblée séduisant par le son d’ensemble qu’il dégage, une référence au rock des années soixante-dix. » Sophie Chambon / Citizen Jazz

« Il faut se laisser envahir par les vagues successives et le pouvoir électrisant de ce combo, dont la liberté et la fraîcheur ne renient jamais les héritages assumés. » Jazz au potier